Jamais le Centre Bell n'aura été autant silencieux qu'il l'a été mardi soir, avec 21 286 spectateurs dans les gradins.
Le moment de silence que la foule a observé à la mémoire de Jean Béliveau, avant le match entre le Canadien et les Canucks de Vancouver, a certes été le plus lourd de l'histoire de l'amphithéâtre, qui a ouvert ses portes en 1996.
Tout juste avant, la patinoire s'est transformée en album-souvenir.
Moment de silence observé à la mémoire de Jean Béliveau
Les plus grands moments de la carrière de Béliveau ont été projetés sur la glace alors que le siège qu'il occupait, trois rangées derrière le banc du Canadien, était inoccupé.
Puis, les joueurs du Tricolore et ceux des Canucks de Vancouver ont fait leur entrée sur la surface de jeu dans le silence. Leurs yeux se sont alors portés sur l'écran géant où d'autres images de Monsieur Béliveau sont apparues, au son de la chanson « Ceux qui s'en vont » de Ginette Reno.
Le moment de silence a été suivi de la plus respectueuse des ovations. Une longue salve d'applaudissements nourris qui a ému l'épouse du plus grand capitaine de l'histoire du Canadien.
Assise à côté du siège de son époux, Élise Béliveau a levé les bras au ciel à quelques reprises afin de remercier le public. Soutenue par sa fille Hélène, Mme Béliveau a même imploré les gens de cesser d'applaudir après quelques minutes. À leur côté, les petites-filles de M. Béliveau, Mylène et Magalie, pleuraient à chaudes larmes.
Une courte cérémonie émouvante, mais fort sobre et simple, à l'image du disparu.
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